Les éléments dont nous disposons pour être au monde et être dans le monde.

Sensations : vue, ouïe, touché, odora, le gout
Ces éléments de préhension du monde extérieur, nous donnent une information sur le monde qui nous entour, les choses telles que nous pouvons en sentir l’effet à notre contact plus ou moins proche. Il s’agira de comprendre l’interaction entre les éléments à l’extérieur de nous et en nous même, approche de contact direct ou indirect dans la limite organique de nos sens.
Perceptions : Comment des informations sur le monde nous parviennent-elles, arrivent-elles en nous et se transforment un une connaissance plus subtile que celles que nous procurent nos sens. Nous aborderons ici les perceptions indirectes en provenance du monde et en interaction avec nous même. Quelle partie de nous analyse et perçoit, quelles informations obtenons nous et pour quelle utilité. Qu’est ce que ces informations nous disent de notre intégration au monde, quelle distance plus ou moins grande, distance ou proximité du monde percevons nous par rapport à nous dans le monde et à l’extérieur du monde, en interaction.

Mais également, nous pourrons nous inquiéter des modalités qui nous font agir et qui parfois nous gouvernent, en dehors même de nous, qui nous poussent à nous dépasser ou au contraire à agir comme mu par une force extérieure à nous dont nous ne pouvons cependant douter qu’elle fait corps avec nous, notre instinct.
En quoi la Raison nous permet elle de moduler cet instinct, nous rends-elle accessible une compréhension raisonnable du monde, participation à la science, manière de nous positionner dans le monde. Que se passe t’il qui par l’exercice de la raison nous permette d’agir sur les éléments extérieurs dont nous avons la sensation et que nous étudions, dont nous percevons l’existence en cherchant à comprendre notre distance au monde. Quelle genre d’informations nouvelles par l’exercice de notre raison appliqué aux sensations, appliquée aux perceptions, nous permet-elle d’exprimer notre volonté sur les autres, sur nous même et sur la matière en en découvrant, en en interprétant et en en raisonnant le fonctionnement. Capacité à prédire.
Que donne le mélange de l’instinct, de la sensation de la raison et de la perception. Dans quel sorte de shaker mélangeons nous ces données qui proviennent d’éléments différents dont les donnés du fait même de leur provenance et de leur destination forment également notre mode de présentation au monde.
Quelle est l’influence de la durée, du temps, notion de vide et de néant, peut on parler de sensation, de perception, d’intuition temporelle ou bien faut il quantifier par des instruments des rapports de durée, de matière, de temps et de déplacements pour concevoir notre nouveau rapport au monde comme dans le monde ?

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