Nomination des différentes présentations de l’Etre confus.

Primauté donnée à l’Etre, agissant
Dans l’Etre agissant il s’agit d’exprimer la primauté donnée à l’Etre c’est une formulation que l’on pourrait noter :
Etre + agir ce qui s’exprimerait par
· Etr-e + ag-ir et dont l’étymon serait
· êtrir.

Les étritions correspondant notamment aux informations accessibles par l’être en tant qu’Etre, sur le monde. L’étrition étant à l’Etre ce que les sensations sont aux sens et les perceptions au mental.

Primauté donnée à l’Action, de l’Etre-agissant
Dans l’action de l’Etre agissant, que nous venons de définir, c’est l’action qui prédomine l’Etre agissant. Cette distinction est fondamentale. Elle pourrait s’exprimer par un mot, issue de l’étymon ente : acte et être agissant
· acte de (Etre + agir)
· acte d’êtrir
· acte + êt-rir
· actrir

L’actrition correspondant à l’action de l’Etre en tant qu’Etre, disposant d’étritions.


Etrir le monde c’est rentrer en communication par l’être avec le monde dans une information étreptible seulement par l’Etre, être informé sur le monde à un niveau d’êtrition où la distance ontologique est confondue.

Etre dans le monde c’est par la nature des choses la position qui nous met au contact du monde non pas dans son êtrition mais dans sa fusion, dans son être au monde, comme sorti d’un même mais autre, au delà du matériel et du temporel mais baigné par en dedans et en dehors, con-prégné, étant partie du tout répondant a la loi de l’universalité. Comme figé dans la conscience consciente et souvent ramené à la Présence, moment du temps réunissant passé et futur dans une conscience d’être et d’appartenance réciproque, réunissant nécessaire et contingent dans un moment sans temps, avant qu’un nécessaire devenu possible s’identifie du tout-contingent contenu par la coïncidence des moments du temps Partie d’un tout obtenu dans la relation de l’êtrissant êtrit, de l’êtrition du monde qui nous êtrit. La distance ontique est confondue. Cet action d’Etre par son étrition nous permet d’accéder à l’intemporel et à l’immatériel, dans leur présence matérielle. J’être le monde.

Agir dans le monde est un état d’être au monde, sans distance ontique ni ontologique mais dans une prégnance ontico-ontologique étant l’action même dans le monde par sa con-prégnance avec les autre. C’est dans cette action d’agir avec les autres également agissants en êtrition du monde et d’eux même que se définit l’action dans l’Etre. Action d’Etre, d’actrir par l’être avec les autres êtres au niveau de l’être. Ce niveau d’actrition propose l’action dans l’être le monde, c’est dans le j’être le monde que j’actrie.

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